Nous avions décidé de ne pas trop surcharger notre 1er janvier... Ça porte malheur de trop s'activer le premier de l'an! Donc, réveil en douceur. Heureusement, c'est pas trop difficile, ça tourne un peu mais ça va :)
Notre train pour Anuradhapura dure 4h, sans encombre! Par contre, un fois arrivé, nous nous lançons dans une marche (avec notre sac) qui aurait du être courte selon le plan du Lonely et qui au bout du compte a duré plus d'une heure, de nuit et sans avoir mangé. Des fois on maudit vraiment ce guide du Lonely. Bref, nous nous couchons le ventre vide et de mauvaise humeur!
Le lendemain, malgré un bon petit déjeuné, Pierre-Yves n'a toujours pas le sourire :( De plus, il se rend compte que l'entrée va nous coûter plus chère que prévu pour un site qui n'est même pas intéressant (selon lui). Moi, amatrice des vieilles pierres (on ne m'appelle pas l'enfant des gravats pour rien:) ), je me régale à tourner autour des majestueux dagobas dont certains restent des lieux de culte en activité. Ces gigantesques dômes en brique font remonter en moi l'ingénieur CC que je suis!
Pierre-Yves retrouve enfin le sourire car nous avons loué un vélo pour la journée et cette balade sur ce vieux tas de ferraille est particulièrement agréable sous cette chaleur suffocante...
Notre train pour Anuradhapura dure 4h, sans encombre! Par contre, un fois arrivé, nous nous lançons dans une marche (avec notre sac) qui aurait du être courte selon le plan du Lonely et qui au bout du compte a duré plus d'une heure, de nuit et sans avoir mangé. Des fois on maudit vraiment ce guide du Lonely. Bref, nous nous couchons le ventre vide et de mauvaise humeur!
Le lendemain, malgré un bon petit déjeuné, Pierre-Yves n'a toujours pas le sourire :( De plus, il se rend compte que l'entrée va nous coûter plus chère que prévu pour un site qui n'est même pas intéressant (selon lui). Moi, amatrice des vieilles pierres (on ne m'appelle pas l'enfant des gravats pour rien:) ), je me régale à tourner autour des majestueux dagobas dont certains restent des lieux de culte en activité. Ces gigantesques dômes en brique font remonter en moi l'ingénieur CC que je suis!
Pierre-Yves retrouve enfin le sourire car nous avons loué un vélo pour la journée et cette balade sur ce vieux tas de ferraille est particulièrement agréable sous cette chaleur suffocante...
Après cette visite mitigée, nous prenons un bus pour rejoindre, environ 1h30 plus tard, la ville de Dambulla!
Nous avons commencé cette journée hautement culturelle par un copieux petit dej dans le bar où nous avions rencontré un rasta vachement cool la veille au soir puis après nous être extasiés devant le super bouddha doré que le lonely trouvait kitch à souhait, nous avons entamé la première ascension de la journée.
Cette courte mais rude pente nous ouvra les portes de somptueux temples troglodytes (moi je n'en ai vu aucun de glodyte mais bon...) puis nous avons pu avoir un cour d'éducation sexuelle donné par de lubriques primates.
Une fois descendu, pas de repos pour les héros direction le bar ou notre Bob local est passé de serveur à chauffeur, c'est donc à bord d'un tuk-tuk rasta avec une sono si démesurée par rapport à l'engin que l'on se demandait si le son n'en était pas la force motrice!
C'est donc au son d'Exodus que nous avons rejoint le bus qui nous a emmené à Sigiriya.
Après avoir trouvé une guesthouse nous pensions nous reposer un peu avant d'attaquer les 300 mètres de l'ascension de l'après-midi mais c'était sans compter sur nos amies les bêtes !
Nous avons en effet assisté à un épisode live du jardin extraordinaire. En rentrant dans la chambre j'aperçois un mante religieuse accrochée au rideau, je l'écrase prestement avec le guide puis ne me préoccupe plus de son cadavre. Quelques minutes plus tard je vois la dépouille emportée par une colonie de fourmis sur le mur à 2 mètres du sol ! Fort intrigué par ce phénomène nous l'observions avec attention quand un lézard sortit du plafond et engloutit les fourmis et leur trophée !
Après une petite sieste nous avons commencé l’ascension du rocher de Sigiriya haut de quelque trois cents mètres qui servait autrefois de temple bouddhiste. Le chemin de l'ascension n'était pas avare en sensation car être suspendu sur un escalier métallique rouillé battu par les vents à plus de deux cents mètres de hauteur ça n'est pas pour ceux qui ont le vertige ! Mais cette ascension en valait la peine car du haut de ce rocher quelle vue splendide, il ne manque qu'un ptérodactyle pour compléter le tableau !
De cet exceptionnel point de vue le coucher de soleil fut vraiment inoubliable, et nous ne boudions pas notre plaisir ainsi que les singes, qui le manifestaient, eux, en s'accrochant à la barrière de sécurité et en la faisant trembler le plus possible !
Pour voir l'album d'Anuradhapura, cliquez ici
Pour voir l'album de Dambulla, cliquez ici
Pour voir l'album de Sigiriya, cliquez ici
Ben c'est vraiment bien beau les paysages cinghalais! Bouddhas, végétation, couchers de soleil, ascensions de nuit, vieilles pierres et falaises... superbes photos. on ne s'en lasse pas. De vos mines réjouies non plus! et de vos commentaires aussi. Ca permet de suivre presque in live vos hauts et bas d'humeur. C'est assez rigolo.
RépondreSupprimerBon Perrine, quand même, les chaussettes dans les sandales c'est pas top sexy...Demande à PH (hi hi) de faire gaffe à ton look pour la postérité.
Votre échelle en fer secouée par les singes m'a donné des frissons d'horreur! pas bon!
Bizz
Maman Perrine
Ouais ok, j'ai déjà été mieux habillée mais je te défie de faire l'adam's peak où on subit des vents glacials au sommet et ensuite la chaleur de l'effort une fois le soleil lève ;)
RépondreSupprimerCoucou,
RépondreSupprimer1) C'est vrai, les chaussettes, c'est pas "le pied"...
2) Faites gaffe, quand-même, avec tous ces cours d'éducation sexuelle...VOUS SAVEZ QUE CELA NE SE FAIT PAS AVANT LE MARIAGE!!!!!(y a plus de jeunesse, madame!)
3) P-H, le perrinien, je trouve que cela ressemble beaucoup au français!!!
biz
Régine